par Iris DiRosa L’affaire Mazan a révélé au monde entier une tendance p*rno dont tout le monde connaît la pratique, mais ignore le nom : C’est la somnophilie. C’est une paraphilie dans laquelle un homme est attiré par une femme inconsciente. Qui dort, qui est droguée, ou alcoolisée. Ce terme est ressorti lors des prisesLire la suite « AFFAIRE MAZAN : La somnophilie et le porno »
Archives de la catégorie : porno
Le « sexe violent », une « épidémie silencieuse » liée à la pornographie
Par Alys Harte, BBC Anna dit qu’on lui a tiré les cheveux, qu’on l’a giflée et qu’un homme lui a mis les mains autour du cou pendant les « rapports sexuels ». La violence lors de rapports sexuels dites « consensuels » est une pratique répandue, selon des activistes. Plus d’un tiers des femmes britanniques de moins de 40Lire la suite « Le « sexe violent », une « épidémie silencieuse » liée à la pornographie »
Sous couvert de culture, on nous vend du porno
A l’intérieur du magazine, un reportage sur le tournage d’un film porno en banlieue parisienne. Pas n’importe lequel : un bukkake.
Le but, c’est que 40 mecs aspergent de sperme le visage d’une femme. C’est une pratique très demandée par les consommateurs, une spécialité comme une autre.
L’idée fantastique du réalisateur, c’est de convoquer des mecs des cités en rut pour gicler sur la fille, ravis de baiser gratuitement avec un argument mis en avant : on ne pourra pas les reconnaître avec leurs foulards et leurs capuches, car attention, ces hommes sont très soucieux de leur image, vous comprenez, la réputation, la famille, les employeurs, c’est important.
Non, la pornographie n’est pas féministe.
Andrea Dworkin a écrit un jour : « Pour une femme, l’amour se définit comme sa volonté de se soumettre à son propre anéantissement ». Remplacez « amour » par « émancipation » et vous avez le cœur de ce qui passe souvent pour du féminisme aujourd’hui : Tout peut être féministe, ou donne du pouvoir aux femmes, si elles le choisissent – surtout si cela a un rapport avec le sexe.
De l’inutilité de rechercher la « pornographie féministe »
Je ne comprends pas vraiment non plus pourquoi les gens – spécialement des féministes – passent tant de temps et d’énergie à discuter trois pauvres films autoproclamés « féministes » qui pourraient éventuellement exister tout en ignorant les trois milliards et quelques images pornographiques misogynes qui existent bel et bien, elles.
LE PORNO FEMINISTE N’EXISTE PAS : LE CAS ERIKA LUST
Lust trouve donc Monica, une femme qui est à la fois pianiste et désireuse de réaliser ce fantasme concocté par Lust. Le problème est que Monica est nouvelle dans le porno et manque d’expérience, tandis que Lust engage un acteur porno masculin, ce qui donne lieu au sexe pornographique dégradant habituel …
Roxie : Onlyfans « la plus grosse erreur de ma vie »
Il m’a fallu 31 ans pour comprendre tout cela et assimiler ce que j’ai vu de la part de mes collègues.
Quand elles se persuadent de leur autodétermination en disant : « j’ai été traitée comme une merde toute ma vie, alors autant que je gagne de l’argent avec ça ». Pour moi, à partir de ce moment-là, c’était fini.
LA CRISE DU PORNO : les effets sur les enfants.
L’actualité du moment concernant la pornocriminalité se divise en deux : les dangers du porno pour les enfants, et les dangers du porno pour les femmes. Côté protection des mineurs nous sommes face à un échec total. En revanche, pour ce qui est de la reconnaissance de la criminalité de cette industrie nous avançons fort.
La pornographie, c’est de la prostitution filmée. Et totalement dépénalisée, cela ne la rend pas sûre.
En tant que survivante de l’exploitation sexuelle commercialisée, tant dans le secteur de la prostitution que dans celui de la pornographie, je trouve absolument ridicule la prétention qu’il faille dépénaliser les tierces parties, par exemple les proxénètes, pour « assurer la sécurité de toutes les femmes ».
ENFANTS, PORNO ET DANGER : l’hypocrisie de la campagne de sensibilisation des pornocrates.
“Que penseriez-vous si un gros baron de la drogue, un de ceux qui envoie ses dealeurs à la sortie des lycées, venait sur le plateau chez Hanouna, vilipender les parents dont les enfants en consomment et leur signifier qu’ils ne font pas leur boulot correctement ?”
Comme Laure, maman d’un petit garçon de 4 ans, vous trouveriez qu’il a du culot. C’est par cette réflexion qu’elle a commencé à dénoncer cette nouvelle campagne de sensibilisation débutée sur Brut, menée directement … par les pornocrates eux-mêmes. Les gros barons de l’industrie du viol.
